Namida et Seisui

Et le vent souffla dans les plaines, emportant les feuilles colorées du printemps dans le ciel d'un bleu magnifique...
( Non, je blague )
Seisui marchait calmenent dans les rues de Konoha, évitant les villages du clan Shiro. Sinon, il aurait à faire avec son père qui lui ordonnerait probablement de s'entraîner pour devenir meilleur. Il secoua la tête et tourna une coin de rue.
Soudain, une main se posa sur son épaule, le fesant sursauter. Il se retourna et fit face à face avec Raika, son sensei depuis qu'il est tout jeune, amis pour lui, Raika est comme son père. Il avait été nettemment plus présent à ses côtés que son père lui-même.
- On s'ennuie ? demanda Tashimaru.
- Nan, j'ai simplement hâte à demain, c'est l'examen, après.
- Une bonne chance de prouver à ton père que tu peux réussir, n'est-ce pas ?
Seisui haussa les épaules.
- Ouais. Je ne crois pas que ça va changer grand chose. Il aimerait que je sois à la hauteur de ce Itashi.
- Si vraiment ce que tu dis est vrai, il a tord, car Itashi se trouve maintenant dans le bingo book pour avoir tuer son clan complet. C'est un déserteur classé S.
- Il s'en fou. D'après lui, il était fort. Après tout, il a tuer tout les Uchiha.
- Sauf quelques un.
Seisui haussa à nouveau les épaules. Raika comprit qu'il n'avait simplement pas envie de parler de cela. Il changea donc de sujet.
- Qui crois-tu avoir dans ton équipe.
- Aucune idée.
- Il y a quelqu'un en particulier ?
Seisui réfléchit. Il est vrai qu'il aimait beaucoup Namida. En plus, elle était très jolie. Il aimait bien Sora, d'ailleur, mais il ne comptait pas là-dessus.
- Oui, peut-être.
Raika l'observe et se plaça finalement devant lui.
- Je ne sais pas ce que tu as, aujourd'hui, mais je te promets que plus tard, ça ira.
-Si seulement c'était aujourd'hui... marmonna Seisui.
Raika posa sa main sur son épaule.
- Je dois malheureusement y aller. À bientôt.
- Au revoir.
Tashimaru s'éloigna et Seisui continua sa route. Il avait encore plus hâte à demain, tout à coup. Si seulement la journée pouvait passer comme un coup de vent...